dimanche 30 juin 2013

Une once de peau



 
(...) Je me rappelle la caresse que nous avons ébréché dans sa lame elle nous a taillé des sourires gravés dans les os. A présent si l'on me souffle dans les bronches j'ai le corps ocarina qui joue l'air de toi.



(...) Tu refusa la bougie la température de la peau t'as effrayée autant qu'elle t'attachait l’œil et la matière. Tu n'as trouvé que cette histoire de molécules pour t'en séparer, paraîtrait ainsi le sentiment est sécable pour le moins miscible dans la larme, nous avons vérifié. Le temps qui n'était pas pour nous ne nous a pas cru nous a ravalé, et de nos deux crochets que nous avions suspendu nous a planté.



 court extrait d'un travail qui court...

1 commentaire:

  1. Merci Joël, j'ai bien eu le commentaire.
    La prochaine étape, il sera visible !

    J'espère que le jour où la version complète sera lisible, tu la trouve aussi à ton goût !

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